One day, Tantri comes to realise she will not have much more time with her bedridden twin brother Tantra, who is losing his senses one by one. Grappling with this reality, Tantri finds solace in the deepness and the darkness of night. Under a full moon, she dances, finding herself between reality and imagination, loss and hope. Tantri experiences a magical and emotional journey into womanhood that eclipses Tantra’s fading life. The Seen and Unseen (Sekala Niskala) is a new performance work, a cross-cultural collaboration between artists from Indonesia, Japan and Australia. Inspired by Indonesian filmmaker Kamila Andini’s film The Seen and Unseen, which has been described as “a truly singular film” (Cinema Scope) and “a haunting and hypnotic interpretation…rooted in Balinese arts and culture” (Variety). This dance-theatre production is a visual feast incorporating dance, live music and song, and features an electronic score, creating a blend of traditional Balinese dance movement with a contemporary approach to theatre. Driving this production is the Balinese philosophy of Sekala Niskala (“the seen and unseen”), a fundamentally dualist spiritual structure that describes what we cannot see as having equal value to what is seen in the world.

“Dans Utérus, pièce d’intérieur, pièce toute d’intimité, Foofwa d’Imobilité déplace le curseur de la virtuosité. Celle-ci ne se donne pas ici dans le brio technique des figures, ni dans le chatoiement d’une séduction spectaculaire. Elle se niche au contraire, en amont de toute forme identifiable, dans l’immense travail que Foofwa, Anja Schmidt et Raphaële Teicher ont mené pour rendre possible l’éclosion de ces mille et uns imprévisibles micro-événements dont chaque représentation est le creuset. Hormis son thème, rien, en effet, n’est pré-défini dans cette pièce. Son défi est de se concentrer, en direct, sur ces moments d’émergence fragiles où, à l’écoute des flux sensoriels et imaginaires qui le traversent, le danseur donne naissance au geste. Ce geste semble alors s’extérioriser spontanément, sans être tout à fait détaché encore de l’intériorité qui l’a nourrie. Mais ne nous y trompons pas : rien n’est plus difficile que cette apparente spontanéité. Il faut des corps savants, éminemment réceptifs et ouverts, pour accueillir cette gestation de gestes inconnus et en accompagner le déploiement. Il faut aussi qu’une profonde connivence se soit nouée entre les partenaires pour que leur trio parvienne à susciter l’impression d’une cohésion organique constamment renouvelée.”